From the young Swedish student Greta Thunberg, the successful example of how the message on the urgency of change can reach hearts and consciences. She deserves all our applause and support. From his courageous gesture a movement is born that mobilizes groups of young people all over the world. The events of “Fridays for future” and the global strike of March 15th are a sign of hope that must leave its mark. This is why the WEEC Secretariat invites all the people involved in the defense of the environment and all the members of the largest international network of environmental educators to join, to be in the front line and to give maximum support to the campaign for the respect for commitments against global warming. «Greta» said among other things the WEEC Secretary General Mario Salomone «spoke also to the great people of the Earth, COP24 and the WEF of Davos. They heard her, but it is not said that they listened to her. It is up to all of us to help extinguish the burning house fire. Women and men of every generation side by side».
FR
A côté des jeunes du monde entier. L’éducation à l’environnement au premier rang de la bataille pour le climat
Le réseau d’éducation à l’environnement WEEC adhère à Fridays for Future en fournissant ses canaux d’information et ses bureaux. Greta Thunberg, jeune étudiante suédoise, montre comment le message sur l’urgence du changement peut atteindre les cœurs et les consciences. Journée de mobilisation du 15 mars contre la catastrophe climatique. Le Secrétaire général WEEC, Mario Salomone, lance un appel à l’adhésion.
Greta Thunberg mérite tous nos applaudissements et notre soutien. De son geste courageux est né un mouvement qui a mobilisé des groupes de jeunes du monde entier. Les événements de vendredi ” pour l’avenir ” et la grève mondiale du 15 mars sont un signe d’espoir qui doit laisser sa marque. C’est la raison pour laquelle le secrétariat du réseau environnemental du WEEC invite toutes les personnes impliquées dans la défense de l’environnement et tous les membres du plus grand réseau international d’éducateurs à l’environnement à se joindre à nous, à être en première ligne et à apporter un soutien maximal à la campagne pour la protection de l’environnement. respect des engagements contre le réchauffement climatique. « Greta – a notamment déclaré le secrétaire général du WEEC, Mario Salomone – s’est également entretenu avec les plus grands peuples de la Terre, la COP24 et le WEF de Davos. Ils l’ont entendu, mais on ne dit pas qu’ils l’ont écouté. Nous devons tous aider à éteindre l’incendie de la maison en feu. Les femmes et les hommes de chaque génération côte à côte ».
ES
Junto a los jóvenes de todo el mundo. Educación ambiental en primera fila en la lucha por el clima
La red de educación ambiental WEEC participa en Fridays for Future poniendo a disposición sus canales de información y oficinas. Empezando por la joven estudiante sueca Greta Thunberg, el exitoso ejemplo de cómo el mensaje sobre la urgencia del cambio puede llegar a los corazones y las conciencias. El 15 de marzo día de movilización contra la catástrofe climática. Desde el Secretariado General WEEC Mario Salomone un llamado a unirse.
Greta Thunberg merece todo nuestro aplauso y apoyo. De su gesto valeroso nació un movimiento que movilizó a grupos de jóvenes de todo el mundo. Los eventos del viernes “para el futuro” y la huelga global del 15 de marzo son un signo de esperanza que deba dejar su huella. Por este motivo, el Secretariado de la Red mundial de educación ambiental WEEC invita a todas las personas involucradas en la defensa del medio ambiente y a todos los miembros de la red internacional más grande de educadores ambientales a unirse, estar en la primera línea y dar el máximo apoyo a la campaña para el respeto por los compromisos contra el calentamiento global. «Greta» dijo el Secretario General de WEEC, Mario Salomone, «habló también a las grandes personas de la Tierra, la COP24 y el WEF de Davos. La escucharon, pero no se sabe si la entendieron. Depende de todos nosotros ayudar a extinguir el incendio de la casa. Mujeres y hombres de todas las generaciones lado a lado».
Tout a commencé en août dernier quand une jeune suédoise de 15 ans (elle en a 16 aujourd’hui) désormais célèbre, Greta Thunberg (photo) a décidé de faire la « grève de l’école pour le climat » au motif que pour un jeune cela n’a aucun sens de préparer son avenir alors que l’inaction des adultes quant à la crise climatique prive précisément la jeunesse d’avenir.
Dans le sillage de Greta
Comme une véritable héroïne, elle était seule assise sur les marches du parlement suédois. Elle est revenue avec sa pancarte semaine après semaine. Puis elle a été rejointe, puis des élèves en Australie ont fait grève eux aussi, puis elle est allée à la coop 24 où elle a eu des parole fortes, puis des élèves en Allemagne, en Suisse, en Belgique… se sont mis en grève et on manifesté pour le climat en se revendiquant de ce mouvement de grève de l’école pour le climat, agissant de façon explicite dans le sillage de Greta. Cela n’est pas encore enclenché dans la réalité en France mais les décisions sont prises, ça va bouger. Les jeunes belges sont en particulier impressionnants. Ils ont décidé de se mobiliser tous les jeudis. Ils sont passés de 3 000 à 35 000 en 3 semaines à défiler pour le climat à Bruxelles. Certains manifestants n’ont pas plus de 10 ou 12 ans ! Greta à fait sensation à Davos, le mouvement ne cesse de se renforcer. A l’appel de Greta, le 15 mars sera une journée internationale de grève de l’école pour le climat.
Les profs entrent en action
En France un collectif des enseignants pour la planète s’est constitué. Ils se sont rencontrés dans le tout nouveau mouvement extinction rébellion. Ils disent « L’urgence écologique n’est plus à démontrer. Elle est à enseigner, et elle doit nous mobiliser à chaque instant, dans nos salles de classe, salles des profs mais aussi dans la rue et dans nos luttes! C’est le sens de la création de ce collectif Enseignant.e.s pour la planète! » Ils sont déjà en quelques semaines près de 3 000 à avoir signé.
Un appel circule dans les milieux de l’éducation
“…nous déclarons que nous ne voulons plus être les instruments d’une propagande rassurante, qui rend invisible la catastrophe écologique. Nous devons au contraire dire à nos élèves que la situation est gravissime, sur le climat qui s’emballe, la biodiversité qui disparaît, la pollution qui pénètre jusque dans nos cellules, et qu’aucun diplôme ni aucune formation ne les protégera contre cela…”. L’excellent quotidien de l’écologie Reporterre a publié un article sur le sujet.
Le développement durable en question
Nous pouvons aussi lire dans l’appel : “…Les médias, les scientifiques nous l’ont assez répété. Nous le savons mais nous nous taisons. Dans nos salles de classe, nous avons accepté trop longtemps d’enseigner le « développement durable », entretenant chez les élèves l’illusion que la situation était sous contrôle, prise au sérieux par les gouvernements du monde…”. Beaucoup d’acteurs de l’éducation à l’environnement apprécieront cette remise en question du développement durable. Ce concept, parachuté du haut dans les années 90, a encombré les réflexions, les échanges et les actions en faveur de l’environnement dans le monde éducatif depuis plus de 20 ans. Adoptons pour de bon le terme « transition » qui lui vient de la base et clairement aujourd’hui, à toutes et tous, s’impose.
Les Educations nationales n’ont pas assuré
De voir tous ces enfants et ces jeunes dans l’émoi cela devrait nous alarmer au plus haut point. Ils disent l’incapacité des adultes à mettre en œuvre ce qu’il faut pour stopper l’effondrement que nous vivons. Il n’y a pas qu’en France, il semble bien que ce soit dans tous les pays que les systèmes éducatifs étatiques n’ont pas assuré. Ils n’ont pas tenu compte des recommandations faites par les grandes conférences internationales sur l’environnement. Dés à Stockholm en 1972, il avait été dit et acté dans le principe 19 qu’il est « essentiel de dispenser un enseignement sur les questions d’environnement aux jeunes générations aussi bien qu’aux adultes … »cela n’a pas été fait ou alors vraiment du bout des doigts. Il faut totalement repenser l’éducation.
En nous, on le sent, l’espoir renait
Nous n’avons pas besoin de jeunes obéissants qui savent apprendre par cœur et bardés de diplômes. Nous avons besoin de jeunes autonomes, confiants en eux, sachant prendre des initiatives, sachant travailler en groupe, des jeunes créatifs, proches de la nature pour l’avoir beaucoup fréquenté dès leur plus tendre enfance. Il y va maintenant de la survie de l’espèce humaine. Soit nous savons prendre les bonnes initiatives, nous-mêmes, pour notre économie domestique et celle de nos territoires locaux partout dans le monde ou alors nous continuerons d’aller à la catastrophe. Avec Greta, avec ces dizaines de milliers de jeunes qui se lèvent dans tous les pays, en nous, on le sent, l’espoir renait, aidons les !
Roland GERARD
The Equator Prize 2019 will be awarded to outstanding community and indigenous initiatives that are advancing nature-based solutions for local sustainable development. Each winning group will receive USD 10,000 and will be invited to participate in a series of policy dialogues and special events during the United Nations General Assembly and the Secretary-General’s Climate Summit in New York in September 2019, culminating in a high-level award ceremony at the beginning of Climate Week.
The Equator Prize 2019 will have a special focus on
– initiatives that protect, restore or sustainably manage natural environments
– initiatives that promote local models for climate-smart food and agricultural production systems
– innovative ways to finance nature-based solutions for sustainable development and climate change
The nomination deadline will be 26 February 2019.
Nominations can be submitted in 8 languages. For further information and to nominate visit the website or contact prize@equatorinitiative.org
The University of Coruña and Alcoa foundation organise the Educating for Sustainability Course, under the title Campus, casa, cidade: laboratorios do cambio.
This project has the objective to advance a community and university formation, share basic concepts of environmental and social sustainability and develop a capacity to act on priority issues.
The program includes lectures, theoretical-practical training sessions, field work and monitored and autonomous field works. It combines individual and group work, in the use of apartment, at the campus or at the campus as places of study and experimentation.
With a calendar distributed from March to June, you can choose the topic, place and time of your participation.
Contamination, waste, climate change, resources, health … activities include the calculation of the ecological footprint, the water footprint, noise maps and water consumption, audits of water and energy consumption in the home, and all through the Use of ICTs as tools for participatory georeferencing and networking
Mario Salomone, Secretery General of the WEEC (World Environmental Education Congress) will be present with a conference on March 13th, h 17:00, Faculty of Educational Science, with a speech focus on the education for sustainability.
The 4th RESCLIMA international seminar: Education for climate change in the educational system and the 2nd meeting of the Rede internaional de pesquisadores em educação ambiental e justiça climática (REAJA) will take place in Santiago de Compostela (Spain) on October 26 and 27, 2018.
The registration period is open, as well as for the submission of proposals to present communications and posters, whose deadline is the next March 15.
The climate change is the big challenge of the XXI century. Urge to be aware of human vulnerability this threat, as well as accepting the biggest responsibility of the companies that most contributed emissions of greenhouse gas (GHG), which contrasts with the lower capacity of the answer to the effects of an out-of-control climate. Alarms in the scientific community warn that we have little time to react. In a few years there will have to be a major social, economic and energy transformation to avoid the collapse of civilization as we know it.
At this crossroads, the slowness of climate policies are surprising. Climate changes occupy a marginal place in the public area and are far from being a priority issue for decision-makers or the general population.
The fundamental objective of educational and communication programs in the next decade should be to convert the climate changes into a relevant and significant problem.
The RESCLIMA project addresses the relationship between science and popular culture in social representations of climate change: contributions to education and communication on climate risks. It explores the complex logic involved in the construction of popular knowledge and the role that scientific culture plays in popular thinking on climate change. RESCLIMA responds to the need for greater understanding of the ‘social factor’ in climate change, to better inform the design of policies, programmes and educational/communicational resources regarding general and specific socio-environmental issues. This web site is designed to facilitate public interface with the project, to make known its most prominent results from the very earliest phases, and to generate multi-directional information pathways with other researchers and with society in general.
How to explain the complex interaction between biological traits and environmental conditions? “Animals at Risk from Climate Change” is an educational poster for environmental and earth science educators made by The Global Education Project, a Canadian non-governmental organization with a 15-year history of publishing fact-packed educational wall posters and producing live events to educate about important issues.
The interaction of biological traits and environmental conditions that cause a species to be susceptible to climate change and the basics of the carbon cycle are made simple and understandable through illustrations, symbols and brief explanatory text–thoroughly documented to reliable sources.
“Animals at Risk from Climate Change” is an educational poster that presents a succinct overview of the fundamental impacts of greenhouse gases — the causes, effects and risks to all forms of life on the planet — . Based on studies from the IUCN Climate Change Specialist Group, the US EPA, NASA, NOAA and the IPCC, the poster features 25 animals that highlight the fundamental impacts of greenhouse gases on all forms of life on the planet.
By 25 animals selected for their vulnerability to climate change, the complex interaction of biological traits and environmental conditions that cause a species to be susceptible are made simple and understandable through illustrations, key graphics and brief explanatory text. Comprehensive and rigorously annotated to reliable sources, this resource is a valuable, timely and relevant educational aid.
To order or to view all of the elements on the poster, visit here
Two days of informal consultations took place in Rabat, Morocco on 9 September, 2016. Invited by the Moroccan incoming Presidency of the 22nd Conference of the Parties (COP22/CMP12)140 delegates and climate negotiators from over 50 countries kicked off the closed-door meeeting to advance on discussions around key issues.
The opening session to the two-day closed-door consultations included remarks from Salaheddine Mezouar, COP22 President and Morocco Minister of Foreign Affairs and Cooperation, Patricia Espinosa, Executive Secretary, United Nations Framework Convention on Climate Change (UNFCCC), Aziz Mekouar, COP22 Ambassador for Multilateral Negotiations, Hakima El Haite, COP22 Special Envoy and Morocco High-Level Climate Champion. French COP21 Climate Ambassador Laurence Tubiana was also on hand as well as a video message to delegates from COP21 President Segolene Royal.
Like COP22 President Salaheddine Mezouar, UNFCCC Executive Secretary Patricia Espinosa also stressed the need to make significant progress on the $100 billion roadmap and for countries to increase their capacity to fight global warming. The Executive Secretary stated that “success for Marrakech means carrying the historic Paris Agreement forward and implementing it to transition towards a low-carbon economy”.
The MedCOP Climate 2016, 18- 19 July 2016, is organized by the Region of Tanger-Tétouan-AlHoceima. It gathered representatives from Mediterranean countries, including the private sector, civil society, and regional and international organizations.
The conference is a milestone for the Mediterranean countries to discuss the Paris Agreement adopted in December 2015, while preparing for the upcoming COP22 in Morocco and an operational road map for mitigation and adaptation.
This COP22 is now the climate COP of Action, with the significant challenge of bringing together stakeholders into a dialogue for action and involvement from governments and civil society.
For more information, visit the MedCOP Climat website here.
The COP21 triggered special momentum for tackling climate change globally. All the UfM Member States signed the Paris Agreement in New York on 22 April 2016 and they are now preparing for the COP22 in Marrakech in November 2016. As part of this preparation, the French Ministry for Environment, Energy and the Sea, and COP21 Presidency, hosted on 12 May, 2016 the 4th Union for the Mediterranean Climate Change Expert Group (UfMCCEG) in the Oceanographic Institute of Paris.
More than 50 climate expert representatives from UfM member countries, key international organisations working in the field of climate change such as the United Nations Environmental Programme (UNEP) and the European Bank for Reconstruction and Development (EBRD), as well as civil society representatives gathered in Paris. Participants will follow up on the Paris Agreement and on the implementation of actions related to the fields of local authorities, private sector investments and capacity building. A work programme for 2016 aiming at enhancing the Mediterranean climate agenda under a regional umbrella of medium-term strategy was adopted at the end of the meeting.
Keeping the global temperature rise to below 2oC, the target set by the Paris Agreement, calls for actions that cannot only rely on nationally-determined contributions. A coordinated regional approach on Climate Action is needed to successfully achieve this target in the Mediterranean, one of the most sensitive areas in terms of the impact of climate change.
Via del Carmine, 15
10122 Torino – Italy
tel.+39 0114366522
secretariat@weecnetwork.org
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